Le choléra ravage la province du Caire et si l'épidémie touche à sa fin, elle frappe encore le petit Hassam que sa grand mère va tenter par tous les moyens de garder en vie, malgré les risques de propagation, le poids des ans qui pèse sur ses épaules, les dénonciations des voisins... Une course contre la mort commence, à travers la ville grouillante de misère, pour amener l'enfant jusqu'à la mer, car il est dit qu'au sixième jour, le malade meurt ou bien ressuscite...
Dans ce récit tragique, Andrée Chedid dévoile la vie miséreuse des déshérités, les ravages de l'épidémie dont certains tirent profit,, distille la sagesse des anciens, les proverbes arabes qui nous plongent au coeur de cette Egypte contemporaine, dévêtue de ses joyaux antiques.
Comme dans Le Message que j'ai lu précédemment, l'amour transcende l'injuste cruauté de la mort pour atteindre une dimension sacrée.
Deux récits bouleversants dont la puissance poétique est propre à nous toucher profondément.
Dans ce récit tragique, Andrée Chedid dévoile la vie miséreuse des déshérités, les ravages de l'épidémie dont certains tirent profit,, distille la sagesse des anciens, les proverbes arabes qui nous plongent au coeur de cette Egypte contemporaine, dévêtue de ses joyaux antiques.
Comme dans Le Message que j'ai lu précédemment, l'amour transcende l'injuste cruauté de la mort pour atteindre une dimension sacrée.
Deux récits bouleversants dont la puissance poétique est propre à nous toucher profondément.
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